Contenus en rapport avec le mot-clé Friedrich Merz

L’Allemagne vient d’adopter en septembre son budget 2025 avec plusieurs mois de retard et un endettement record.

Trente-cinq ans après la chute du mur, les célébrations de la réunification allemande ont tourné à la mise en scène d’élites coupées du peuple. Une mémoire aseptisée, vidée de son souffle historique.

Alors que la France s’enfonce dans une crise institutionnelle inédite, marquée par la valse des Premiers ministres et l’impuissance du pouvoir exécutif, les observateurs allemands, attachés à la stabilité et au compromis, peinent à comprendre le désordre parisien. Entre inquiétude et consternation, la presse et les responsables politiques d’outre-Rhin pointent une défaillance du système français et l’isolement d’Emmanuel Macron.

Face aux difficultés de l’industrie automobile allemande et à la concurrence chinoise, le chancelier réclame une révision de l’interdiction prévue en 2035 de la vente des véhicules à moteur thermique. Une position qui divise au sein de sa coalition et pourrait peser sur les discussions européennes.

L’Allemagne souhaite reprendre la main, de façon relativement affirmée, sur les questions européennes, selon des informations de Bloomberg.

Réunis à Brégançon puis à Toulon, Emmanuel Macron et Friedrich Merz affichent leur volonté de relancer le moteur franco-allemand pour transformer l’Union européenne, dans le sillage de l’appel pressant de Mario Draghi.

Avec deux tiers de ses dépenses consacrés à l’État-providence, l’Allemagne arrive à une impasse : Friedrich Merz reconnaît que la redistribution massive n’est plus soutenable.

Les fonds liés au climat et à la transition énergétique ont été réduits dans le cadre du prochain budget fédéral.

Alors que l'AfD et la CDU sont à nouveau au coude à coude dans les sondages, l'insatisfaction des Allemands envers le chancelier Merz a atteint un niveau record de 64 %.

Les scrutins en France et en Pologne en 2027 inquiètent les dirigeants allemands.

Porté par une tournée européenne façon « Germany is back », le chancelier Friedrich Merz regagne dix points dans les sondages. Mais derrière l’image du nouveau « shérif de Bruxelles », ses critiques dénoncent une fuite en avant : renvoyer les dossiers brûlants - armée, énergie, migrations - aux instances de l’UE pour échapper à la reddition de comptes nationale.

L’arrivée de l’Allemagne sur le marché de la dette va encore aggraver le problème français. Tous ceux qui ont pensé que l’endettement de l’Allemagne allait nous aider à surmonter notre fardeau se trompent. La dette allemande va souligner l’irresponsabilité des politiques français et augmenter nos risques de faillite.

Le chancelier allemand s’est exprimé sur l’offensive menée par Israël contre l’Iran lors d’un entretien sur la chaîne Welt TV en marge du G7 au Canada.

Le nouveau chancelier allemand, Friedrich Merz, qui veut prendre ses distances avec les États-Unis, souhaite effectuer des efforts de défense conséquents outre-Rhin. Mais Berlin échoue depuis des années à moderniser son armée.

Soixante ans après la réconciliation avec Israël, Berlin semble céder à la tentation d’un reniement historique. Face à la pression croissante du lobby anti-israélien, le gouvernement allemand opère un virage inquiétant.

Le prix, attribué cette année à la présidente de la Commission Ursula von der Leyen, fonctionne depuis des années comme un outil de propagande accompagné de polémiques publiques.

Cette initiative intervient alors que la communauté internationale s'inquiète de plus en plus du programme de censure de l'Europe.

Friedrich Merz propose une série de mesures visant à remettre les Allemands au travail. Le chancelier chrétien-démocrate souhaite l’exemption d’impôts sur les heures supplémentaires et sur les heures travaillées par les retraités actifs.

Berlin aurait donné son accord à Paris pour débarrasser la législation européenne de son "biais anti-nucléaire", selon des sources officielles.

Classé secret pour protéger de prétendues « sources sensibles », le rapport des services de renseignement allemands qui désigne l’AfD comme parti d’extrême droite repose en réalité uniquement sur des contenus publics. Réseaux sociaux, discours, tracts : rien de confidentiel, mais une interprétation idéologique qui alimente les critiques. En pleine montée des tensions politiques, cette affaire soulève une question cruciale : jusqu’où peut-on aller pour disqualifier un adversaire dans une démocratie ?